Ne rien attendre, ne rien prétendre.

Éclairer la vie par des mots tendres,

Combattre l'ombre de nos coeurs

Faire de l'amour, une véritable fleur.

Donner sans compter

Être trompé par les ombres du passé

Ne rien attendre, vivre.

Non sans espoirs et avec le rire.

Pleurer ton départ,

Comme la mort d'un unique espoir.

Errer sans buts, sans fin.

Ne pas croire davantage à un mensonge qu'à demain.

Ne rien attendre, tout donner

Esquisser sous la plume, quelques pensées.

Qui mourront elles aussi, au petit jour.

Brûlées dans le coeur, terrible four.

Fou, nous étions d'y croire.

Fou, nous sommes de vouloir.

La réalité brise les barreaux des rêves éveillés

C'est cette nuit, que le coeur, va enfin, se reposer.

Être plutôt qu'avoir

Donner sans vouloir prendre, le soir

Prendre ce qui est donné.

L'accepter.

Échanger sans arrières pensées,

Les mots vibrant dans le coeur étoilé.

Apprendre, se méprendre

Vouloir comprendre.

Se tromper et pleurer,

Recommencer pour mieux chanter.

Ne jamais plier pour l'acquis,

Mais tirer les cartes de la vie.

Combattre, batailler,

Tomber à terre et se relever.

Plier comme le roseau,

Se reposer au fil de l'eau.

Ressentir l'émotion

La retranscrire sans le moindre son.

Te dire sans mentir,

Laisser renaître le rire.

Être plutôt qu'avoir...

J'ai marcher longuement sur ce chemin

Jonché d'ornières et de la poussière des souvenirs,

Je ne voulais plus croire qu'à deux, puissent s'écrire demain.

Voyageant avec le poids mort du juge intérieur qui ne servait qu'à noircir.

Mais l'hiver fini lui aussi par mourir

Car la roue du temps, ne s'arrête point.

Le printemps sous un vent doux, commença à luire

D'une douce aquarelle peinte, esquissant un nouveau demain.

Je entendu ta voix parler à mon coeur

Alimentant l'incendie qui couvait,

Brûlant la peur des erreurs

Et les souvenirs erronés.

La fin de l'hiver avait enfin sonnée.

Dans ce doux printemps,

Mes os et mon âme fatiguée s'éveillaient

Comme s'éveillaient de tendres sentiments.

Tout changea, l'horizon perdant son gris

Les souvenirs eurent les lèvres cousues, tendrement

Mon coeur chante la vie,

Tout simplement.

La flamme est devenue brasier

Enflammant l'espoir d'une nouvelle vie,

Elle éveille le phénix sur son bûcher

La nuit est maintenant finie.

Mais avant de laisser les pensées courir

Ils me restent quelques mots à chanter

Car le coeur et la raison viennent de s'unir

Pour qu'un nouveau soleil puissent les bercer...

Je t'aime

C'est dans l'océan de tes yeux

Que je puise l'encre de mots merveilleux

Là bas, on y entends le chant du vent

Qui veut vivre plus que survivre.

C'est dans l'océan de tes yeux

Que je vois la flamme de la vie.

Celle qui réchauffe sans brûler,

Celle qui ne meurt point sous la pluie.

Tu braves la tempête,

Ta devise marqué au fer rouge dans ton coeur.

C'est dans l'océan de tes yeux,

Que j'ai vu ce courage qui change les vents.

Maintenir le cap, franchir les vagues

Parfois pleurer et recommencer

S'accrocher à la barre et ne pas oublier

Les lames de fond tu connais.

Pourtant, tu n'a jamais cessé de naviguer

D'avancer, de donner, de partager.

Et dans l'océan de tes yeux, j'ai vu cette vérité.

Prends le futur dans une main

Repeint le monde à tes couleurs

Fait chanter le soleil et sourire la Lune

Fait danser les oiseaux sur ta voix

Ton pinceau de mots esquisse

Un autre arc en ciel.

La pluie devient d'or et d'argent,

Et dans tes pages se disent des secrets.

Dans tes yeux, un sourire

Trésor du coeur qui tel le geyser

Jaillit à la surface.

Prends le passé dans l'autre main

Et pétrie un nouveau présent,

Le tien.

Prends mon coeur et enflamme le.

Il deviendra alors le phare

Vers d'autres chemins merveilleux.

Il sera flèche d'argent dans les matins du monde

Prends mon coeur et emporte le.

Emporte le sous le vent et la tempête.

Incandescent il sera.

Mais tes ailes, ne brûlera pas

Prends mes lèvres pour que mes mots soient tien

Ils vivront en toi aussi longtemps que le temps infini

Je te les donnes au nom de la vie

Afin que nous célébrons le jour qui se lève

Que nous chanterons librement,

Dans la chaleur de la nuit.