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Voir le monde

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18 mars 2008 2 18 /03 /mars /2008 13:29

Il y a ce que tu dis et que je comprends.

Il y a ce que je dis et que tu comprends.

Il y a ce que je dis et que tu comprends pas.

Il y a ce que tu dis et que je ne comprends pas.

Il y a ce que tu ne dis pas et que je ne comprends pas.

Il y a ce que tu ne dis pas et que je comprends.

Il y a ce que tu ne dis pas et que je crois comprendre.

Il y a ce que je ne dis pas et que tu crois comprendre.

 

Il y a enfin, tout ce que je dirais pas parce que tu ne voudras pas y croire.

 

Je puis te dire que si demain n'est pas tracé, les grandes lignes sont malgré tout dessinées.

 

Je prends les Chemins que tu ne sais pas et je les prends avec toute la force que je possède, aussi forte, aussi faible soit elle.

 

J'irais et je reviendrais de là où ne personne ne va.

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16 mars 2008 7 16 /03 /mars /2008 17:21

Les fleurs ont séchées

Dans l'aube glacée.

Les épines sont revigorées

Par la pluie d'yeux fatigués.



Le printemps galope sur le vent

Et le jardin reste abandonné.

Plus personne ici ne vient prendre le temps,

Plus jamais.



L'air du temps dessèche les sentiments,

La vie se retrouve dépouillée de saveurs.

L'air du temps corrode le champ,

C'est le temps de l'erreur.



Les fleurs ont séchées

Mortes dans le gel de l'hiver

L'heure n'est pas à planter

Mais à défricher l'hier.



Plus personne ne vient ici

Les mots ne chanteront plus jamais

Ne vient seulement que la pluie

C'est le début qui rejoint la fin, ce matin.

Petit morçeau de musique pour accompagner les mots, ici



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14 mars 2008 5 14 /03 /mars /2008 13:29

Une épopée,

Qui se raconte au fil de l'épée.

C'est le cri du cor qui résonne dans la vallée,

La puissance du dragon qui vient de s'envoler.

 

 

La plume affûtée

Le coeur aiguisé

Les mots tomberont comme un couperet

Le vent vient hurler.

 

 

Je suis de retour

Non plus du mourant, le souffle court

J'ai parcouru tant de détours

Mais mes yeux se posent de nouveau sur la tour.

 

 

Pour la paix, j'arpente

Pour la vie, je chante

Pour l'amour, je plante

Pour vous, toujours, je chante

 

 

Je reviens des terres froides et gelées

Je vole sur les ailes d'argents et d'aciers

La porte noire tombera bas dans la matinée

Et l'après midi, vivra ensoleillé

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11 mars 2008 2 11 /03 /mars /2008 18:18

Au grand carillon de la vie

Sonne la fin d'une ère.

Et dans l'incendie du matin

L'exil prends fin.

 

 

L'épée dans une main

La branche d'olivier dans l'autre,

La matinée ne se teinte pas d'amertume

Mais se colorie du plaisir de vivre.

 

 

Acier contre voix intérieure

Rameau d'olivier pour le meilleur.

La roue tisse sa toile

Mais l'araignée est envolée

 

 

Au grand carillon de la vie

Sonne le début d'une ère.

Et dans l'incendie du matin

Vient le cri d'une naissance.

 

 

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6 mars 2008 4 06 /03 /mars /2008 16:34
phenix.1181047853.jpg

Un feu ardent inonde le bûcher

Les flammes étouffent la dernière vie

C'est chaud comme l'intérieur du soleil

Bientôt ne restera que les cendres...



C'est la nuit

Tout est fini.



L'aube se lève sur un soleil brûlant.

Les cendres du bûcher...

Elles s'enflamment.

Frappé par les rayons d'Hélios

Un nouveau bûcher est en train de naître.

Le cri, le cri déchirant, hurlant la naissance

Hurlant la vie, le retour sur Terre.

Son coeur chante la fin et le commencement,

Qui ne sont qu'un.

Des larmes de chaleurs s'épandent pour son ancienne vie.

Et la douleur, de tout recommencer.



La roue du temps est revenu au départ pour lui,

L'unique immortel.

Dans ses plumes aux éclats de soleil et de feu,

Il est encore plus beau, plus fier, plus majestueux.

L'empereur des cieux est de retour

Le phénix reprends son envol




 

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5 mars 2008 3 05 /03 /mars /2008 12:33

Le temps s'arrête quand tu es la,

Il n'a plus de prises sur moi.

 

 

Je ne compte plus les heures,

Je ne compte plus les jours,

Je navigue sur les mots,

Je navigue prés de toi.

 

 

Quand la nuit apporte son cortège de rêves

Doux et lumineux,

Je te retrouve dans cette vie

Où le temps n'existe pas.

 

 

Le temps s'arrête quand tu es la,

Il n'a plus de prises sur moi.

 

 

Le monde vient de se changer

En un jardin merveilleux

Où le parfum des roses sont des mots tendres

Où le chant des oiseaux font écho à ta voix.

 

 

Un jardin vivant dans un éternel printemps

Dont les racines s'enfoncent dans le respect

Dont les fleurs sont le partage et l'empathie.

Je n'ai jamais froid là bas.

 

 

Le temps s'arrête quand tu es la,

Il n'a plus de prises sur moi.

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4 mars 2008 2 04 /03 /mars /2008 13:56

Ne plus écrire au conditionnel.

Ne plus parler d'espoir,

Mais lui donner des ailes

Pour chanter au delà du soir.



Écrire un futur qui ne sera pas imparfait

Conjuguer les verbes tendres

Ton coeur, faire danser

Chaque jour, le défendre.



Prendre ta main dans la mienne.

T'emmener danser,

Une valse tendre et aérienne.

Ta douceur comme un soleil d'été.



Les mots s'enflamment de tendresse

Quand ils parlent de toi.

La plume se fait caresse,

Quand elle porte ta voix.



Le coeur tisse sa toile

Délicate et solide

Elle capture la rosée des étoiles

Et les mots sont fluides.



Écrire un futur qui ne sera pas imparfait

Conjuguer les verbes tendres

Ton coeur, faire danser

Chaque jour, le défendre.

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3 mars 2008 1 03 /03 /mars /2008 13:12

La porte s'ouvre pour parler de toi

De la magie qui fond en moi.

Je chante l'espoir nouveau

D'un ciel bleu et beau.

 

 

 

Fleur improbable qui pousse dans le désert,

Arc en ciel d'une nouvelle ère,

Fontaine des mots qui percent la nuit,

Crayon de douceurs qui gomme le gris.

 

 

 

Comme la lumière dans une prison

Tu donnes une autre saveur à la chanson

Du sucré et du salé, jamais de l'amer,

Toi, toi qui a chassé le cerbère.

 

 

 

Fleur aux délicates pétales

Vent doux qui gonfle les voiles

Tes mots caressent le coeur de l'exilé

De celui, qui ne pouvait plus chanter

 

 

 

Les vagues ne meurent plus sur la plage

Au coeur de la vie, d'un autre cépage

Où l'ivresse n'est que tendresse

Où la tendresse ne se voile jamais de tristesse.

 

 

 

Je navigue désormais à tes cotés

Que ce soit contre vents et marées.

Je te suivrai là ou tu feras escale

Je serai avec toi même si le soleil se voile.

 

 

 

Fleur de la vie qui change la roue du temps

Muse au coeur si grand,

Je dépose mes mots à tes pieds

Rengainant ainsi ma lame acérée.

 

 

 

Je combats en mon nom et en le tien

Ma plume s'atèle à un autre demain.

Je ne mangerai plus le pain noir

A deux, s'écrira un véritable espoir.

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27 février 2008 3 27 /02 /février /2008 12:30

La marée apporte une bouteille .

Un message à l'intérieur,

Des mots vrais, de la chaleur

Une merveille.



Les vagues dessinent sur la plage

Des rires joyeux

Des nuages heureux

L'histoire s'écrira sur une autre page.



Prés d'un feu, sur la plage

J'écoute et j'apprends ton histoire

Faites de lumières et de noir

Toi aussi tu écoutes, comme un sage.



C'est ainsi que tu as lu les pages d'un récit.

Les pages parfois brouillonnes

Celles aussi où l'eau bouillonne

Tu as compris.



Tu m'as fait tirer une lame

Carte d'un tarot précieux

Cachant des pleurs et du merveilleux

Cette carte, elle me dis « change de cap »



L'ancre est levée

Les voiles gonflées par les vents

Ceux du changement

La navire enfin se remet à voguer.

 

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26 février 2008 2 26 /02 /février /2008 12:03

Le silence est brisé,

La montre vient de se relancer,

Les barreaux de tomber

L'espoir, doucement, de se réveiller.

 

 

Comme une Atlantide qui émerge des océans,

Comme le phénix des légendes d'orient

C'est la renaissance ce qui était perdu dans le temps.

La cloche qui sonne, c'est celle d'un nouveau printemps.

 

 

La forteresse imprenable est prise

Redressée la tour de Pise.

Qu'elle est douce cette brise

Et les étoiles qui luisent.

 

 

Comme un soleil au fond de l'eau

Comme un poisson remontant le ruisseau

L'impossible donne chaud

Quand il se réalise malgré les barreaux

 

 

 

Marée qui s'inverse

Alors que s'arrête l'averse

Éclats de tendresse

Coeur à la renverse

 

 

C'est le sourire des nouveaux jours

La soie des mots de velours

La fin d'un coeur sourd

La douceur qui de nouveau, court

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