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Voir le monde

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27 janvier 2014 1 27 /01 /janvier /2014 04:11

C’est quand le souffle est épuisé 

Quand l’air devient si lourd des marques d’un temps pourtant révolu

Quand le feu doux a été assassiné

C’est quand la plume reviens sur le papier

 

C’est quand les étoiles sont mortes d’avoir pleuré

Quand notre prison est faite de honte et de tristesse

Quand nos chaines nous entrainent, loin de tout

C’est quand nous croyons nos cœurs damnées

 

C’est dans ces moments que nous chérissons et maudissons,

Que soufflent plus fort, les vents du changement.

Ni doux, ni amer, ils sont la sève du printemps,

Ils sont le bucher du phénix.

 

Pour naitre, il fallait que je meure.

Pour naitre, il fallait que je pleure.

C’est ici et maintenant que je vois

Que les vrais trésors ne sont jamais vraiment cachés.

 

Pour vivre, il faut écrire autre chose que des mots

Il faut créer des pages,

Il faut colorier les dires et surtout, les animer.

L’horloge tourne vers son aimant.

 

 

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28 avril 2010 3 28 /04 /avril /2010 13:30

PTH_ArbreTemps.jpg

Le temps file comme l’eau dans la main.

Il s’en va et jamais ne revient.

Le temps file comme du sable dans le vent.

Il s’en va et emporte tout sans ménagement.

 

Et il court, se raccroche au jour et à la nuit,

Court à la poursuite des étoiles sous la pluie.

Le petit homme s’accroche, s’écorche

Aux branches du temps qui penchent.

 

C’est une course sans fin.

L’infini meurt toujours de faim.

Le temps file et petit homme bientôt s’en ira

Comme les derniers rayons de soleil qui meurent dans nos bras.

 

Et il court, se raccroche au jour et à la nuit,

Court à la poursuite des étoiles sous la pluie.

Le petit homme s’accroche, s’écorche

Aux branches du temps qui penchent.

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8 décembre 2009 2 08 /12 /décembre /2009 13:58


Poser la plume sur le papier,

C'est parfois anoblir les mots

Ou les plonger dans le marasme bouillant de l'erreur.

Poser la plume sur le papier,

C'est comme changer le cours du temps.

Créer l'aventure à l'encre de nos folles pensées.

Poser la plume sur le papier,

Change la couleur du présent.

Nous changeons le cours de la rivière du temps.

Pose ta plume sur le papier

Et laisse ainsi ton coeur voguer.

Peu importe le dessin que tu formes.

Pose ta plume sur le papier

Et les mots ainsi assemblés.

Finiront par t'offrir un soleil.

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3 décembre 2009 4 03 /12 /décembre /2009 13:47

J’ai pris la lumière du soleil

Pour en faire l’encre de mon cœur.

Je grave ainsi dans le marbre de la vie,

Mon amour pour toi.

 

J’ai pris les rires de la Lune,

Pour en faire des mots de joie.

Je grave ainsi nos instants

Dans la clarté dans nos vies.

 

Je prends les couleurs de l’arc-en-ciel

Et les transforme en perles de tendresse.

Je les dépose prés de toi,

Et les réchauffe au vent chaud des baisers.

 

Je prends mon cœur

Et le dépose auprès de tien

Maintenant, et à jamais.

Je t’aime.

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2 décembre 2009 3 02 /12 /décembre /2009 13:53

Sa coque brille dans le soleil couchant

Comme un diamant posé sur l’or et l’argent.

Ses voiles sont ses ailes marines, gonflées

Par le vent doré.

 

Navire fantôme ou bien mirage de Neptune ?

Quel est donc ce navire couleur Lune ?

Personne n’a jamais vu son pavillon,

L’équipage semble sans nom.

 

C’est le navire d’entre les mondes.

Qui voyage dans les mers fécondes,

Qui glisse sous le vent du ponant

Où sur prés des iles du soleil couchant.

 

Nul ne connaît son nom,

Nul ne connaît sa destination,

Il vogue sur les océans…

Simplement.

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30 novembre 2009 1 30 /11 /novembre /2009 13:49


Un monde sans frontières

Vient de naitre dans tes yeux.

Un océan plein de mystères,

Ouvre étrangement la clé des cieux.

 

Plongeant dans cet océan les yeux ouverts,

J’y pêche plus que de la poésie ou des mots.

Nos cœurs à découvert,

Ils vont sur les routes de l’infini, auprès de l’amour chaud.

 

Un monde sans frontières,

Où les mots ne s’expriment qu’en baisers sucrés

Où l’amour reste un tendre mystère,

Là où le vent caresse les peaux de sa main salée.

 

Ouvrons les yeux vers cette terre,

Déchirons les voiles du néant

Brisons les chaines de l’enfer

Et laissons l’amour rimer avec longtemps.

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16 novembre 2009 1 16 /11 /novembre /2009 14:32


Un pont de pierre,

Entre les deux rives de la rivière.

Il chante le passage des amoureux

Qui sur son dos, s’en vont vers le ciel bleu.

 

Un pont de pierre,

Qui enjambe le temps et sa rivière.

Il chante le passage de l’eau

Qui sous lui, s’en va vers d’autres terres, là haut.

 

Petit pont de pierre

Ne s’ennuis jamais de cette terre.

Il sourit au défilement du temps

Et chante toujours tout doucement.

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15 novembre 2009 7 15 /11 /novembre /2009 20:00


Je me promène sur le pont d’un grand navire.

Le soleil ne va pas tarder à s’éveiller et luire.

Une brise de mots vagabonde sur le gaillard d’avant,

Elle apporte une odeur de sel et de changements.

 

Laisse ton cœur s’abandonner au bleu du ciel

Hisse la grand-voile, et goute à la douceur du soleil de miel.

Laisse ces moments magiques envahir ta vie,

Et fais de ces instants, une éternité sans pluie.

 

Je monte au sommet du grand mat en vigie.

J’y vois des mots d’une douceur qui jamais ne se finie,

Ils se reflètent à loisir sur le dos des Dauphins.

Les nuages cotonneux dessinent un ciel serein.

 

Laisse ton cœur s’abandonner au bleu du ciel.

Hisse la grand-voile, et goute à la douceur du soleil de miel.

Laisse ces moments magiques envahir ta vie,

Et fais de ces instants, une éternité sans pluie.

 

Je navigue sur les mots d’amour,

Pour te rejoindre, sans détours.

Je ne ferais pas le voyage d’Ulysse,

La mer se fait tendre et lisse.

 

Laisse ton cœur s’abandonner aux désirs de la nuit

Lève l’ancre vers le demain de ta vie.

Laisse la chanson plonger au cœur de ton cœur 

Laisse l’amour venir sans douleurs.

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5 novembre 2009 4 05 /11 /novembre /2009 13:21



J’aime la chanson du vent qui caresse la peau,

Berceuse éternelle qui chuchote des tendresses.

J’aime le rire des nuages blancs,

Qui voyagent pour s’arrêter parfois en étoiles d’eau.

 

Et que dire de l’éclat du Soleil,

Qui offre le doux message de la chaleur,

Qui parfois peint nos peaux en ocre ?

Soleil, raviveur des couleurs de la vie.

 

La rivière comme les nuages, trace son petit chemin.

Elle emmène avec elle, un cortège de poisson aux reflets argentés,

Chante doucement sa mélodie du soir au matin.

Ni le temps, ni le vent, ne l’arrête.

 

J’aime la chanson du vent qui caresse la peau,

Berceuse éternelle qui chuchote des tendresses.

J’aime le rire des nuages blancs,

Qui voyagent pour s’arrêter parfois en étoiles d’eau.

 

J’aime cette vie que je n’ai peut être pas choisis

J’aime ce monde imparfait qui pleure et qui rit

J’aime t’aimer au jour, dans la nuit.

Je t’aime.

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2 novembre 2009 1 02 /11 /novembre /2009 15:27


Le monde prend une autre couleur,

Quand nos cœurs battent au rythme

De la salsa de nos ébats.

Les cieux brûlent alors dans la dimension douceur.

 

La vie chante alors en accord majeur,

L’harmonie des étoiles du firmament

Les caresses du soleil dans nos printemps

L’amour danse, danse encore et encore.

 

Magie du présent où le passé part en fumée.

Magie de l’instant où le vent apporte le sourire au temps.

Magie de maintenant, ciment du futur,

Pour que la vie dure, encore et encore.

 

Le monde prend une autre couleur,

Quand nos cœurs battent au rythme

De la salsa de nos ébats.

Les cieux brûlent alors dans la dimension douceur.

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