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Voir le monde

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3 mai 2008 6 03 /05 /mai /2008 17:27

Quelques mots pour celle qui m'a appris le sens du mot poésie...


Une musique douce et légère...

Tes yeux fredonnent sur cet air.

Tes lèvres dansent l'amour

Dans tes baisers de velours.


L'océan de tes yeux

S'agitent de vagues aux grands creux.

Le soleil sourit enfin,

Tes mains caressent alors le petit matin.


L'océan de tes yeux déborde parfois

En cascade de perles de joie,

Ou de tristesse,

Sur tes joues, une muette tristesse.


Ta plume esquisse un voile de mystères.

Affleurent alors aujourd'hui et hier

Les mots te montrent et te cachent

Comme les nuages qui du ciel, se détachent.


C'est sous le soleil d'une autre vie

Dans ce petit coin de paradis

Que je te retrouverais

Pour t'embrasser.


Une musique douce et légère...

Ton coeur bat à la mesure de demain et d'hier

Tu aimes aimer

Aimer...

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29 avril 2008 2 29 /04 /avril /2008 04:10

Je voulais te dire, je t'aime

Faire de ta vie une douce bohème.

Je voulais te dire, je t'aime

Avec toi, parcourir les plaines.



Tu n'es pas venue

Bien que longtemps, je t'ai attendu.

Laissant mon âme à nue

Sous la neige et le vent, je t'ai attendu.



Nos routes ne sont pas les mêmes

Il n'y aura plus de « je t'aime ».

Tu es de ce monde, teinté de poèmes

Il n'y aura plus de « je t'aime ».



Tu n'es pas là au jour.

Mon coeur est ainsi sourd.

Le chagrin lourd,

De te voir partir, au petit jour.



Éphémères sont les rêves.

Éphémères est la trêve,

Quand la nuit s'achève

Et que le coeur crève.



Tu n'es pas venue

Bien que longtemps, je t'ai attendu.

Laissant mon âme à nue

Sous la neige et le vent, je ne t'ai pas entendu.

 

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27 avril 2008 7 27 /04 /avril /2008 10:44

Pourquoi ?

Pourquoi es tu revenu hanter mes nuits ?

Tu sais que je soupire après toi

Mais que je ne peux venir là bas.


Alors pourquoi ?


Pourquoi ne restes tu pas au matin ?

Quand le monde des hommes s'éveille

Tu disparais dans un souffle de vent.

Pourquoi ne restes tu pas ?



Je te désire et ne te veux pas.

Je t'aime et te déteste.

Je pense à toi et je t'oublie.

J'écris et j'efface mes pensées.



Tu finiras par ne plus revenir

Alors pourquoi maintenant ?

Es ce toi qui annonce les vents ?

Serais tu Eole ?


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22 avril 2008 2 22 /04 /avril /2008 14:11

Las, je suis las.

Des intempéries du coeur

De ces batailles sans nom

Qui ne laissent qu'un goût amer de fausses certitudes.



Las de me mentir pour me protéger,

Le coeur érodé par les pluies des sentiments.

Las des ombres du passé,

Qui me tendent leurs bras décharnés.



Je suis fatigué d'aller là où personne ne veut aller

De donner, de croire et ne plus vouloir.

De donner et reprendre, sans attendre.

D'espérer, donner vie et s'en aller.



Le cul entre deux chaises

L'ange dans le coeur

Le diable dans la main

Tirer l'arcane treize pour demain.



Je ne jouerait pas ce rôle qui n'est pas le mien

Je ne serais pas l'acteur d'un spectacle

Où tirant les fils, je m'amuserai

Non, je ne suis pas ça.



Je suis celui qui rêve

Qui donne vie aux éclats des longues nuits

Livrant bataille, refusant le combat

Celui qui aime partir, pour mieux revenir.



Et si partir c'est mourir

Alors je meurt aujourd'hui

Pour renaître demain

Sur les cendres encore chaudes de mes erreurs.

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22 avril 2008 2 22 /04 /avril /2008 00:35

Ta poésie touche le coeur.

Pénétrante, enivrante,

Doux parfum plein d'infinies senteurs

Elle est si tendre, si touchante.



Tes mots pleurent l'amour

Chantent la vie,

Coulent de tes yeux sans détour,

Riant comme les étoiles, la nuit.



Il y aussi ces mots que tu ne dis pas.

Ces mots du silence,

Que dicte parfois ton coeur las,

Que tu assourdis sans violence.



Bien au delà de tout ceci

Il y a un jardin impénétrable

Où pousse des secrets, des envies

Cet espace-temps à toi, sanctuaire inviolable.



Je pleure de ne pas te donner

Les mots que tu m'apprends.

Cette douce musique déposée,

Par tes soins, tendrement.



Les mots nous ont réuni

Dans ce carré de ciel bleu.

Tu m'apprends les doux mots de la vie

Je voudrais tant qu'ils t'emportent dans ce monde heureux



Je voudrais que mes mots deviennent arc en ciel

Q' ils prennent vie pour toi,

T'emportant vers un bonheur éternel.

Ah si les mots d'amour, pouvaient m'envoler vers toi.


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21 avril 2008 1 21 /04 /avril /2008 13:43

Pour toi, la rose,

Je devient jardinier.

Chaque jour, je vient te voir.

Je respire tes mots

Pour me droguer de ce parfum enivrant.



Pour toi, la rose,

J'enlèverais délicatement, par un tendre baiser

Les épines qui percent ton coeur

Ces épines qui te font pleurer dans le noir du soir.



Je te regarde déployer tes pétales

Faites d'or et de poussières d'étoiles.

Tu es au printemps de ta vie,

Et même si le ciel de demain est noir,

Je t'abriterai dans la serre dans mon coeur.



J'entretiendrais la terre qui t'entoure

Pour qu'elle nourrisse ton coeur de joie,

De nouveaux mots et d'amour.



Ô rose, je ne veux pas te déraciner

Car je t'aime.

Ô rose, mon coeur, mon ange

Je ne te laisserai pas fané.



Tu es la rose du printemps

Lumière du nord, douce comme une étoile

Tu es la rose de l'été

Lumière du sud, enivrante à souhait

Tu es la rose de l'automne

Lumière de l'ouest, forte et fragile à la fois

Tu es la rose de l'hiver

Lumière de l'est qui réchauffe si joliment la poésie.



Rose de la vie, je t'aime

Comme un petit jardinier

Qui visite son jardin et découvre ce trésor au petit matin

Rose de la poésie, je viens t'aimer

Le jour & la nuit.


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17 avril 2008 4 17 /04 /avril /2008 12:27

Partir pour ne jamais revenir.

Récrire une autre histoire,

Qui ne sera qu'un rêve sans espoirs.

Partir pour mourir.


Mourir c'est recommencer.

Laisser tomber la poussière,

Dans le sablier

En chassant hier.


Tu oublieras jusqu'à mon nom

La vie n'est qu'un petit fleuve.

Laisse moi partir vers une terre neuve,

Et les souvenirs, devenir, des alluvions.


Tu dois chasser les rares mots

Que j'ai entrecroisés pour toi.

Laisse les sortir de là,

Je t'en prie, laisse les partir là haut.


Partir pour ne jamais revenir.

Ne plus écrire d'histoires,

Concrétiser les minces espoirs.

Partir pour ne pas subir.


Chasses le vent au loin,

Chasses la tempête que je suis,

Fais moi sombrer dans ton oublis.

Je ne viendrai pas demain.


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15 avril 2008 2 15 /04 /avril /2008 14:05

Ne rien attendre.

Juste prendre,

Ce que la vie donne

Et se battre, quand l'heure sonne.



Ne rien attendre.

Te donner,

Sans compter

Quelques mots tendres.



Te laisser partir,

Quand tu préfères écrire finir.

Rire des défaites

Pleurer les victoires sans fêtes.



Ne rien attendre,

Juste prendre.

Donner

Et puis pleurer.

 

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3 avril 2008 4 03 /04 /avril /2008 20:44

Le gong infernal vient de sonner

C'est fini, le temps est écoulé.

La vie hurle, hurle que je me sois écarté du chemin

Et encore une fois, le gong infernal vient de sonner.



Il y a plusieurs voies entrecoupées

Qui n'en finissent de se croiser, décroiser

Mais certaines ne sont pas faites pour moi

Je connais la voix, les voies, et j'y vais, sans toi.



Les leçons dictées par la vie

Sont celles qui ne sont jamais démenties.

Je suis lessivé par le temps qui ne s'arrête pas,

Épuisé d'avoir livrés les mauvais combats.

Et pourtant...


J'arpente de nouveau le chemin

Sous le sceau du dragon de juin,

Certaines voies me sont interdites

Voila ce que la vie hurle dans ma fuite.



L'éruption du feu intérieur,

Loin d'être un leurre,

Continue son oeuvre

A la recherche d'une terre neuve.



Viendront sur le chemin, les louves et les lionnes

Les douces même quand elles grognent

Au nombre de cinq, elles viendront

Les autres, viendront et comme toujours, s'en iront.

 


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11 février 2008 1 11 /02 /février /2008 14:16

Fille des mers et du vent

Tu berces les rêves d'étoiles

Fille de la vie et du printemps

Tu danses les vagues sans voiles



Chanteuse des doux moments

Dans ce monde qui s'écroule.

Aphrodite des sentiments,

Tu verses des larmes sur la foule.



Dans tes yeux sombres

L'étincelle de joie

Qui aux étoiles, fait de l'ombre

La douceur du miel dans ta voix



La marée du temps ne t'emporte pas

Tu es le phare d'un univers

Et les vagues à l'âme ne t'atteignent pas

Ton coeur n'est pourtant pas une pierre



Fille des mers et du vent

Tu pleures le monde des hommes

Fille de la vie et du printemps

Tes larmes sont celle de la lionne



Tu chantes doucement l'amour

Ton rire se fond dans la lumière.

Tout recommence au petite jour

Et tout redevient clair.

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