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Voir le monde

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9 juin 2007 6 09 /06 /juin /2007 20:40

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Si mes mots pouvaient être douces caresses

Pour que ton coeur,

Soupire de tendresse.

Si mes mots pouvaient avoir le goût de tendres baisers,

Pour que tes lèvres s'abreuvent à la fontaine de la douceur.

En voilà des «si» qui ne sont pourtant pas bémols mais bien majeurs.

Viens composer avec moi la symphonie de l'arc en ciel,

La où les couleurs vibrent en harmonie.

 

 

 

Si mes mot se taisaient

Rendant la parole inutile,

Laisser enfin nos corps se tutoyer, s'échanger

Sous le regard de la Lune bienveillante.

Plonger dans tes yeux et m'y noyer

Puis revenir nager avec toi dans les plaisirs de nos chairs

M'abreuver à la fontaine de tes baisers.

Te faire déesse de mes pêchés

Pour tromper les heures

Suspendre le temps, indéfiniment

 

 

 

Seul mon esprit à réduit le gouffre qui me sépare de toi,

De ton nom, de ton visage.

Alors je t'ai inventé pour un voyage de mots

Un voyage dans mes désirs de fou.

Je t'ai donné vie rêvant que ce soit un présage,

Fantôme venant de paroles lointaines.

Je te libère maintenant de mon poème...

 

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8 juin 2007 5 08 /06 /juin /2007 12:14

57440161.jpgDe tes yeux, vient l'eau de ton coeur,

Inondant le papier de rimes aussi tristes qu'une nuit sans étoiles

Créant une fleuve de douleurs où tu noies les fantômes d'un temps révolus

De tes yeux vient l'eau de ton âme.

 

Tu combats avec la plume, plus forte que l'épée

Le papier est ton champ de bataille,

Les mots, des guerriers qui se disputent

Les espoirs les plus fous comme les désespoirs les plus noirs

C'est la que se disputent questions et certitudes.

 

Tes yeux, ta plume nous parle aussi de ces jours heureux

Quand viens, un rayon de soleil

Un arc en ciel changeant le paysage de cendres

En une terre fertile de rêves, de paix et de joie.

 

Dans le secret de ton jardin

Ton coeur souffre et brûle

Souffre du froid glacial de la solitude

Brûle de le voir arrivé

Cet amour où tu te jetteras à corps perdu

 

Bientôt, ta guerre se finira

Les vents du changements seront là

Bientôt tu te retrouveras

L'amour te tendra ses doux bras

Cet amour t'aimeras pour ce que tu es

Créant une magie aussi douce qu'une matinée ensoleillée

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6 juin 2007 3 06 /06 /juin /2007 16:32

A mon amie poète, toi qui est la rose des mots


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Comme l'aigle sur les plumes du vent

Mon amie poète glisse des mots sur le parchemin

Elle laisse parler toutes les nuances de couleur

Du triste gris, au bleu de l'esprit en passant par le rouge de la passion.

Son tableau charme le coeur de ceux qui veulent voir et entendre.

Elle assemble les mots par étoiles et constellations

Les rendant plus lumineux que les milliards de milliard de soleils.

Mon amie poète, tourne les mots dans une improbable spirale, elle en est maîtresse.

Artiste, son âme vibre d'une intense empathie, chaleur douce de bien des vies.

Elle sait lire dans nos coeurs et quand le sien affronte la tourmente, elle part

Elle part se réfugier et assembler de nouveau, les mots

Elle revient alors la plume chargée de trésors,

Ses poèmes qui sont les perles du fond des océans

Sa plume est d'or et d'argent et les mots qu'elles assemblent sont heureux de leur nouvelle vie.

Tantôt la pluie de ses yeux, tantôt l'amour infini lui servent d'encre.

Sa plume guide la mienne, la mienne si pâle et incertaine.

Patiemment, elle me fait découvrir sa magie,

Elle m'ouvre des voies infinies.

Mon amie, qui dire de plus quand les mots ne suffisent pas ?

Puisse simplement que ta magie, éclairer ta vie de toute la tendresse, que tu mérites

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5 juin 2007 2 05 /06 /juin /2007 21:35

73975991.jpgTu es la et tu attends.

Tu regardes l'horizon,

Mais des yeux voient bien au delà de tout horizon connu

Tu te retournes lentement, tes longs cheveux noirs flottent au vent.

 

Ton regard n'est pas une étincelle mais un véritable brasier aux immenses flammes

Flammes d'envie et de désir, d'amour et de soupirs.

Ton sourire, bien des hommes se damneraient pour l'obtenir.

Tendre, sincère, il est la douceur des printemps du midi du monde.

Il est la chaleur qui ne brûle pas, la chaleur qui succède à l'hiver infernal

Donnant naissance à une nouvelle fleur au parfum sucré.

 

Tu m'invite à prendre ta main, nos regards ce tourne vers l'océan.

 

Nos lèvres ne bougent pas mais nos coeurs parlent d'amour véritable

De cette union où tout n'est pas parfait mais qui est éclairée,

Par l'échange et ce profond respect immuable de nos libertés.

 

Nos coeurs parlent aussi des ces heures où nos corps s'enflamment.

De ces jours et de ces nuits, où je me suis perdu sur tout ton corps

De ces moments où l'homme est immortel, la femme la déesse qu'il vénère

De ces heures si folles que le temps suspend son vol.

 

 

Je n'ai pas besoin de parler, tu lis en moi comme dans un livre ouvert.

Ce livre dont tu écris les plus belles pages, la plus grande histoire.

Ce livre dont les pages s'accumulent, comme des pierres aux fondements de nos sentiments

Tu n'as pas besoin de parler, je vois dans tes yeux même lorsqu'il pleut sans nuages.

 

Nos baisers expriment bien plus que ce que des mots pourraient conter

Ta main dans la mienne, c'est bien plus que ne pourrait jurer un serment.

 

 

Voilà que je me réveille, affolé, perdu, égaré.

L'évidence brûle mon coeur comme une vague de sécheresse.

Tout est désert, vide, froid.
Hélas oui,

Je n'ai fait, qu'une nouvelle fois, te donner vie, mon amour

Dans un rêve qui a pris fin avec le jour.

 

Qui es tu, toi, fantôme de mes nuits ?

Un espoir fou qui craint la lumière du petit jour ?

Es ce le souvenir d'une vie que je n'ai pas vécue ?

Donne moi ton nom, par pitié...reviens.

Reste encore un peu, reste jusqu'à demain

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4 juin 2007 1 04 /06 /juin /2007 04:29

73979555.jpg
A
h si mes mots pouvaient chanter

Unir les Hommes et abolir les mortelles frontières

Refaire la vie sans haines, sans peur de revivre hier

Éclairer de la lumière des mots, d'autres univers

Lier non par des chaînes mais par les doux sentiments

Inonder ta vie des couleurs de l'arc en ciel

Épanouir tes jours et des nuits, te faire rêver que demain sera plus beau qu'aujourd'hui

Ne plus regarder en arrière sans pleurer



Toujours t'aimer pour ce que tu es

Rire de la vie et des soucis

Échapper et suspendre le temps

Inventer des rêves nouveaux pour toi

Zigzaguer sur les nuages et en rire comme des enfants

Et toujours, toujours, t'aimer comme tu es

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1 juin 2007 5 01 /06 /juin /2007 11:45

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Perdu dans les limbes du temps

Je cherche un chemin qui mène vers toi

Je ne veux plus te rêver, ne plus t'imaginer

Mais tourner avec toi, mon regard vers l'immense océan de l'avenir.

Ne plus courir, ne plus fuir.

Mais avec toi, goûté au repos de l'âme.


Nous pourrions créer un monde nouveau

Où nos armes seraient changées en fleurs.

Pas question pour autant dans la tour d'ivoire de l'amour, de s'enfermer.

Nous partagerons aussi les fruits sucrés de nos amitiés.

Nous nous perdrons corps et âme dans la folie des nuits sans fin

Laissant nos corps engourdis jusqu'au petit matin.


Je cherche ce chemin qui mène vers toi.

Je sais qu'un jour, je ne te rêverai plus, tu seras là

Nous franchirons les gouffres de l'espace et du temps.

La lumière dessinera alors, un arc en ciel

Il sera le pont entre nos deux coeurs

Traversant les nuages, effaçant la pluie.


Viendra le temps où je ne compterais plus les heures.

Tu deviendras la maîtresse du sablier de ma vie

L'immortel amour éclora comme cette fleur du printemps

Que nous planterons dans la terre fertile de nos deux coeurs.



Que les mots me poussent vers toi

Que les étoiles éternelles ouvrent la voie

Et qu'à la fin, nous venions à nous rencontrer sur le chemin.

 

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31 mai 2007 4 31 /05 /mai /2007 17:02

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Comme le dormeur rêve du serpent qui s'approche,

Il sent que la fin est proche.

Les vents du changement arrivent sur les ailes du temps.

Il connaît cette histoire, il l'a vécu mille fois.

L'orage gronde en lui,

Son coeur soulève des vagues en furies.

Il affûte son épée, endosse sa côte de mailles dorée.

Son esprit est aux aguets,

Sensible au moindre grain tombant dans le sablier éternel.

Il ne peut prédire d'où viendra l'assaut final.

C'est alors qu'arrive une fée, nimbée d'une aura argentée

Voilà donc le grossier piège.

La fée, elle se contente de le regarder, intriguée

Les questions le submergent comme un torrent dévalant la vallée.

Es ce donc le dernièr piège ?

Celui dans lequel, il devra succomber, souffrir mille morts et enfin renaître ?

La fée, elle, reste dubitative. Mais que veux donc ce guerrier ?

Par sa magie, elle s'ouvre le chemin de son esprit.

Elle comprends tout et pleure car son coeur est empathie.

Le guerrier s'est fourvoyé, trompé par la sorcière des fonds de la noire forêt.

La fée s'ouvre plus profondément à la toile de la magie.

Elle tente, elle tente désespérément de le sauver.

Elle finit par s'effondrer, ivre de fatigue.

Il ouvre enfin son coeur,

Et lui, l'homme égaré, ne cesse dès lors, de pleurer.

Il a ressenti la magie de la fée au tréfonds de son âme

Elle a ébranlée les voiles noirs de l'obstination, de la peur.

Mais il pense hélas, cent fois hélas, que la pauvre fée est condamnée.

Les larmes du guerrier tombe comme une nuée de printemps sur la fée.

Elle s'éveille alors, et cherche la lumière comme un tournesol.



Ils discutèrent longuement.

Des journées et nuits entières

La fée expliqua, que seul, un heureux hasard est à l'origine de leur rencontre.

Le guerrier compris qu'elle devait retourner vers les siens

Mais sachez, braves gens, que jamais, plus jamais

Son coeur fût voilé, son âme aveuglé et il devint sage parmi les sages

Sa rencontre, il la gardera longuement secrète et nul ne sait ce qui advint de la fée qui le sauva.

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30 mai 2007 3 30 /05 /mai /2007 20:07

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Écoutes le vent de ce soir
 

N'entends tu pas les mots qu'il charrie ?

 

Il raconte ton histoire

 

L'histoire de tes combats sans fins,

 

De ces batailles aux larmes innombrables,

 

Quand seule dans le noir, tes yeux pleuvaient de l'eau acide.

 

Écoutes le vent du soir.

 

Il ne chante pas seulement tes peines,

 

Mais aussi ces moments de joie que tu as gagné.

 

Ces moments où ta joie atteint le nirvana du bonheur.

 

Ne t'oublies pas, ne te perds pas.

 

Tes mots bien souvent nous ont montrés la voie.

 

Ta poésie est le réconfort que nous voulons te donner.

 

Et c'est toi pourtant, qui nous offre, les mots sucrés.

 

Combien de fois as tu oublié qui tu es,

 

Pour soigné des autres, les plaies ?

 

Tu as acquis la sagesse dans la douleur des journées noires sans soleil

 

Dans les nuits sans rêves et sans sommeil.

 

 

 

 

 

Viendra le vent qui changera ton univers.

 

Les étoiles seront tiennes et tu brilleras parmi elles.

 

Viendra le temps où tu seras libres de toutes chaînes,

 

Portée par les plus tendres sentiments de celui qui saura t'aimer,

 

T'aimer pour ce que tu es.

 

Ses mots sont pour toi, petite soeur de mon coeur. Toi qui te bats chaque jour, envers et malgré tout. Je reste ton fidèle et dévoué serviteur.

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28 mai 2007 1 28 /05 /mai /2007 14:12

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Je voudrais te dire les mots du coeur

Ceux qui transforment les murailles

En poussière d'étoile.

Je voudrais me taire et te prendre dans mes bras.

Se laisser bercer avec toi, par l'unique bruit des vagues

Qui viennent mourir sur la plage.

Je voudrais simplement, aussi dur que cela soit, t'aimer.

Plongé avec toi, dans les abîmes insondables de la tendresse

M'égarer sur les sentiers de tes lèvres, là où brûlent tes doux baisers.

Je voudrais partager cette vie, te soutenir, te soulager

Quand les peines du coeur jaillissent de ces diamants, que sont tes yeux.

T'aimer jusqu'au petit matin, et reprendre le même chemin

Je voudrais me faire magicien des mots

Parler à ton coeur et le réchauffer

Prendre ta main et ne rien dire, juste profiter du temps

Vivre à tes cotés, t'aimer et ne jamais partir...

 

 

...Je me réveille,

Ce n'était qu'un rêve d'une nuit sans sommeil

Je ne sais à qui ses mots sont destinés

Ils se sont simplement envolés de mon âme

Les entendras tu ? Les verras tu ?

Toi ,dont le visage m'est aussi obscur que l'encre de chine

Toi, dont je ne connais pas le nom

Si tu veux venir, je t'attendrais aussi longtemps que dure l'éternité

Me laisseras tu t'aimer ?

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26 mai 2007 6 26 /05 /mai /2007 20:09

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Les heures deviennent sombres

 

Temps où rodent les ombres

 

Je n'espère plus que le rayon de lumière

 

Je ne veux plus des étoiles éphémères

 
 
 

A l'heure ou s'éteindront les vies

 

J'aimerais dire que j'ai réussis

 

A te faire sourire

 

A t'aimer sans te nuire

 
 
 

Mais l'heure n'est pas arrivée

 

Je dois, encore, patienter

 

Les vents du changements ne soufflent pas

 

Et les nuages ne bougent pas

 
 
 

Que deviendront les mots quand tu seras là ?

 

Brilleront ils d'un autre éclat ?

 

Je ne puis le dire

 

Je n'ai pas envie de lire dans l'avenir

 
 
 

Ce soir, je suis fatigué

 

Fatigué de regarder,

 

Seul, la course des étoiles

 

Je n'y vois plus aucun charmes

 
 
 

Alors je fais aller me reposer

 

Et dans le sommeil profond, te rêver

 

Rêver que tu es là

 

Dans mes bras

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