Un bouquet de mots

Vient de fleurir dans ton jardin.

Mots aux parfums doux et audacieux.

Un bouquet de mots sonores

Vient de jaillir dans le jardin secret de ton coeur.

Tes fleurs sont immortelles.

Elles traversent les gouffres du temps,

Apportant les larmes de joie sur nos visages.

C'est le parfum de la métaphore merveilleuse qui prends naissance en toi,

C'est le chant de la compassion ou de la liberté,

C'est le bonheur de partagé, de briser les murs de la prison.

Un bouquet de mots

Vient de fleurir dans ton jardin.

Il en sort des sons merveilleux,

Il en sort de nouvelles graines qui s'envolent au vent,

Et donnent vie à de nouveaux fruits.

Tes mots sont de la graine de douceur

Graine de connaissances aussi

Chacun de tes mots est une raison de continuer

A écrire, à vivre et à aimer.

La sagesse vient de la pluie du coeur,

Les larmes de l'âme alimente le feu de la compréhension.

Elles sont la lumière cristalline qui ouvrent la voie de l'empathie.

Un coeur heureux est bien trop souvent aveugle et sourd

Aux pluies du monde qui l'entoure,

Mais rien, rien ne se fige dans l'espace et dans le temps.

Les vents tournent et le soleil vient parfois

Là où on ne l'attends pas.

Et il y a des coeurs heureux qui sèchent les larmes dans d'autres mondes.

La sagesse vient de la pluie du coeur,

Et pourtant, comment pourrais je donner,

Alors que je me sent si fatigué ?

Je ne suis pas là quand il le faut.

J'arrive bien trop souvent après la bataille,

Parce que je suis trop à mes combats dérisoires.



C'est une mauvaise histoire que celle ci
Un mauvaise réalisation qui gache la péllicule
Il faudra bien un jour, que je réécrive, le scénario

Je capture la lumière que je mélange à la pluie,

Un arc en ciel que je dépose dans ta vie.

Quelques mots s'embrasent, s'embrassent,

Dans les tourbillons de la poésie que rien n'effacent.

Les larmes de ton coeur ne sont pas perles d'écrin,

Une pluie acide que tu caches dans les mots, en priant demain.

Tu oublies déjà les nuages d'hier, les chaînes qui pendent à ton cou

Tu distilles tes larmes pour en faire de la poésie, et non pas des rêves fous.

Je ne peux lire dans tes yeux, la même peur

Qui fait trembler si souvent mon coeur.

Tu es tisseuse des vers et de métaphores,

Que tu donnes sans arrières pensées et aucun remords

Tu enfermes la peur et tu la métamorphoses en chaleur

Chaleur et douceur, que tu offres aux fidèles de ton coeur.

Bien peu sont capables de suivre totalement cette voie

Les autres et donner, voila ton choix.

Tu caches tout dans le mystère de ta foi,

Dans le mystère de ce choix.

C'est ainsi, en partie, que tu changes le monde.

C'est ainsi que la Terre reste ronde.

Pourtant, viendra un jour, où il viendra à toi, pour toi.

Sur des ailes d'or et d'argent, il viendra.

Porté par les vents d'un amour tendre et sincère,

Il t'aimera sans changer ton univers.

Le monde des Hommes est emplis de mystères.

Il viendra et ses caresses te seront légères.

Des pensées s'éveilleront.

Deux coeurs s'embraseront.

Le coeur des hommes est bien étrange.

Il s'enferme parfois dans des tours d'ivoire et de cristal.

Leur coeur s'assombrisse alors, tombe dans un sommeil sans fond...

Voila que mon coeur entends un chant.

C'est l'appel de l'aventure, aucun doute possible,

C'est l'appel de l'aventure,là où la magie fait briller la vie.

C'est le chant des étoiles au matin du monde.

C'est le chant de la vie qui résonne par delà les gouffres infinis du temps.

C'est la magie du renouveau qui vient détruire les chaînes du mauvais vouloir

C'est l'éclat d'un monde brillant qui vient chasser les nuages noirs de l'incertitude.

Tout change, tout s'effondre pour se reconstruire en plus beau.

Même le soleil n'avait jamais posséder ce doux éclat.

Ô fée, comprends tu que c'est toi,

Qui donne au temps la saveur perdue de la vie ?

Ô fée, vois tu, combien tu as changé l'univers,

Qu'un coeur avait par erreur, forgé ?

La magie de ton coeur est à l'oeuvre et partage devient son deuxième prénom

Nous connaissons, nous deux, sont premier prénom.

Seule ta magie pouvait changer la voie si vite,

C'est le chants des possibles qui ouvrent la route désormais.

La route vers d'autres horizons que le coeur croyait perdu mais qui sont ici et maintenant.

La route vient de s'éclairer par la brillance de ton âme et de tes ailes de fée.

C'est le chant d'une nouvelle liberté qui sera célébré dans les halls du château.

Les troubadours n'en finiront pas de chanter, désormais.

Je ne peux te faire reine,

Je n'ai ni royaumes, ni empires

A t'offrir.

Mes coffres ne sont pas remplis d'or et d'argent.

Juste de quelques sentiments.

Je n'ai qu'un coin de ciel bleu à te donner

Taché parfois par un peu de pluie

Quelques nuages gris aussi,

Un coin de ciel bleu à te faire partager.

Je ne peux te faire reine de mon coeur.

Ce dernier a disparu dans les limbes bleutées

Plongé dans une cage de verre et d'acier.

Il y restera jusqu'à la fin des heures.

Je ne t'offre pas l'amour

Je ne sais pas aimer.

T'offrir l'amour, ce serait t'offrir un voyage sans possible retour

Je ne peux offrir qu'un autre amour, du nom d'amitié.

Je ne peux t'offrir que le vent.

Le vent des mots qui soufflent sur les heures

Je peux t'offrir que le vent.

Qui parfois, pleure