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Voir le monde

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22 juin 2007 5 22 /06 /juin /2007 17:44
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Je voudrais croire,

Que l'amour c'est ça, que l'amour c'est toi,

Que l'amour est fait de mots insensés,

De moments où nous tutoyons l'immortalité.


Je voudrais croire,

Que l'amour c'est toi & moi.

Qu'il ne s'enfuira pas aux rayons du soleil

Comme un ombre d'espoirs insoumise aux caprices du temps.



Je voudrais croire

Que mes larmes ne tomberont pas sur le papier

Pour écrire en lettre de tristesse le mot « fin »

Mais que l'amour survivra aux tempêtes des heures douloureuses



Je voudrais ne plus dire espoir

Mais vivre cet amour, dans la douceur des jours

Dans la chaleur des nuits sans fin.

Vivre cet autre refrain, avec toi, main dans la main


Je voudrais croire au printemps

Et voir la rose de nos sentiments

Prendre racine dans nos âmes

Ancrer son parfum dans nos vies



J'aimerais aimer

T'aimer toi, pour toi

Je voudrais croire à cela

Sentir le souffle de ton coeur en moi



Je ne te connais pas

Ni ton nom, ni ta voix, ni ton visage

Je ne te connais pas

Mais qu'est ce qui m'empêche d'y croire ?

De croire en toi & moi ?

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21 juin 2007 4 21 /06 /juin /2007 19:08

477161.jpgFée, ô douce fée,

Je vois ton coeur pleurer.

Il y jaillit d'amères larmes,

Comme autant d'échos de tes rêves perdus.

Une ombre a glissée en toi

Voilant l'éclat des douceurs que tu portes.

 

 

Fée, ô mon amie,

Ton âme semble s'être écorchée

Aux épines de la rose rouge.

Tes mains saignent une profonde douleur

Ton regard semble se noyer dans un typhon immense.

 

 

Prends ma main pendant qu'il est temps,

Toi qui m'a tant de fois sauvé du chant des sirènes

L'heure est venue pour moi, de t'offrir mes heures.

Par la force du serment qui me lie à toi

J'avance le temps, je souffle les vents du changement.

 

 

Viens, viens sur mon dos car je suis Pégase

Et je t'emmène vers le soleil des chants Elysées.

Non ma fée, tes rêves ne finiront pas comme ceux d'Icare

Tes rêves ne sont pas orgueil démesuré

Tu souhaites simplement donner le plus doux des cadeaux

 

 

N'oublie pas la légende du phénix, ô fée

Quand tout semble perdu, tout revient à la vie

Tout revient à l'amour, au printemps et beaux jours

A tes cotés je me porterais, s'il te plaît

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20 juin 2007 3 20 /06 /juin /2007 17:26

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Ma mémoire est calcinée par les cendres d'un volcan de doutes

J'ai tout oublié des caresses du vent sur mon âme écorchée.

Mon coeur est amnésique aux charmes de la vie

Je suis échoué sur la plage des questions passées.

 

 

Toi, qui l'a vu partir pour ne jamais revenir,

Toi, qui te tenais sur les rivages de la grande mer de l'ouest,

Toi dont le regard porte jusqu'au jours anciens,

Tu te souviens de l'exquise douceur des mots glissant sur ta peau,

Des rimes tutoyant ton coeur

Embrassant, embrasant tes émotions

Les larmes acides de tes prunelles ne corrodent pas tes souvenirs.

 

 

 

Perdu dans les terres brumeuses d'une vie incertaine

J'ai vu l'étoile que tu portes au front

Reflet d'un esprit tout à la fois doux et indomptable.

J'ai alors couru sur le sable, comme courent les pauvre fous après un mirage.

Mon coeur était en nage après tant d'effort

Quand le temps, le temps lui même s'est arrêté.

Je t'ai vu et tout mon être t'a reconnu

 

 

J'ai alors pleuré des jours entiers

Car la mémoire, comme une déferlante

M'est revenue par vagues puissantes et inénarrables.

Quand l'eau rouge de mes yeux à finie de fondre de moi,

Tu m'as pris dans des bras, et tes yeux, tes gestes ont parlés.

 

 

Nos corps se sont fondu en un

Nous avons parlé avec nos yeux, nos mains

Nos caresses nous ont rendus sourds et aveugles aux soucis de demain

Les étoiles dansaient autour de nous

Comme autant de papillons d'or et d'argent

Nous n'avons dés lors plus jamais compté le temps

Nous nous sommes simplement aimer

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19 juin 2007 2 19 /06 /juin /2007 13:31

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A quoi rêves tu dans les nuits silencieuses ?

A quoi rêves tu dans la chaleur des jours nouveaux ?

 

 



Ton esprit s'enflamment de mots

Il les rassemble, désassemble

Brouillons épars de vies perdues ou rêvées

S'entassent dans les tiroirs de ton coeur

Mots qui s'unissent en d'étranges reflets

D'amours perdus ou non vécus

D'exil supposé

 

 

A quoi rêves tu dans les nuits bruyantes ?

A quoi rêves tu sous la pluie des jours brumeux ?

 

 

Ton coeur bouillonne de vivre tes mots

De donner vie aux chants de l'impossible

Parchemins de combats gagnés sur le fil de la plume

S'entassent dans les tiroirs de ton esprit

Racontant de biens étranges histoires

Où les héros meurent de solitude

Où les héros meurent heureux et dans la plénitude

 

 

A quoi rêves tu dans les nuits sans Lune ?

A quoi rêves dans les journées qui ne finissent pas ?

 

 

Tes mains sentent l'encre et le papier

Tu dévores sans remord les écrits des contemporains ou aïeux

Tu éponges les mots par milliers, par centaine de milliers.

Livres qui s'entassent sur les étagères lourdes d'oeuvres

Mais aussi de cette part de toi même.

Mots d'amour, batailles aux milles larmes

Voilà de quoi tout cela parle.

 

 

A quoi rêves tu dans les nuits silencieuses ?

A quoi rêves tu dans la chaleur des jours nouveaux ?

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17 juin 2007 7 17 /06 /juin /2007 11:46

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Mon armure, forgée par les larmes du temps

 

Est fin prête

 

Mon épée, affûtée par les mots du pouvoir

 

Est tranchante comme un rayon de lumière

 

Oui, je reviens au combat.

 


 


 

La bannière au dragon doré flotte

 

Au gré du vent de ma colère

 

Leurs armées envahissent peu à peu mon pays

 

Ils sont des sauterelles dans un chant de blé.

 

Détruisant les douces cités.

 


 


 

Mes hommes me suivent

 

Nous chevauchons sur les ailes de la guerre

 

Au son des tambours et du tonnerre

 

Nous allons au devant des guerriers de l'arbitraire.

 


 


 

C'est dans la plaine qu'aura lieu la bataille finale

 

Et par tous les dieux, je sais que nous ne vaincrons pas

 

Le mensonge est un puissant venin

 

Mensonge, tu es capable de changer le cour du temps, je le sais

 


 


 

Tout notre coeur ne suffira pas dans cette bataille.

 

Mensonge, misère, nous somme si peu nombreux

 

Pour abattre ses piliers du malheur

 

Certains les ont ébranlés par le passé

 

Notre force réside dans les mots, dans le coeur même de la vie

 

La machine de guerre face à nous est puissante

 

Faites d'or et d'argent, de promesses aussi alléchantes qu'une offre d'immortalité.

 


 


 

Je suis une goutte d'eau dans l'océan difforme

 

Conquérir l'impossible ? La vie nous le permet

 

Alors en avant, amis exilés

 

Parce que le combat durera jusqu'à la mort du temps

 

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15 juin 2007 5 15 /06 /juin /2007 14:49

J'aime les mots des arbres

Quand le vent leur donne la parole

J'aime les paroles d'une averse légère

Quand mes combats m'exaspèrent.

 

 


J'aime les éclairs que lancent la prunelle de ses yeux

Quand ses désirs se font impérieux,

Son rire d'enfant qui chatouille,

J'aime ses mains qui caressent doucement la vie

Son sourire félin, un défi

 

 

J'aime les mots qui dansent sous la plume du poète

La valse des images qui flirtent avec le soleil

Et puis, je l'aime, elle

Et les fruits sucrés de ses tendres baisers

 

 

J'aime sa chaleur au réveil

Son corps, une invitation à la noyade des sens

J'aime ses silences qui parlent de nous

Sa sensibilité de femme, qui fabriquent parfois des perles d'eau.

 

 

J'aime tout d'elle

Ses orages devant la vie

J'aime ce qui elle

Son coeur parfois rebelle

 

J'aime mes rêves de fou

J'aime quand les mots s'emparent d'elle

Et la font vivre le temps d'un poème

Où d'une nuit.

 

 

Non je ne suis pas triste de lui donné mes mots

Et mes rêves.

Elle viendra, si elle le désire

Alors, ce jour la, il y aura de l'écho.

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14 juin 2007 4 14 /06 /juin /2007 10:57

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Tu te languis dans ces nuits où le temps n'existe pas,

Où les caresses de ton amour, sont autant de baumes parfumés sur ton coeur

De ces moments où la couleur des baisers gomme les larmes,

De ces silences assourdissants qui chuchotent le printemps de la vie

De ces fleurs qui prennent naissance dans la terre fertile de deux coeurs.

 

Tu te languis du vertige de la passion,

Des fruits rouges de la déraison.

Tu te languis du secret des vagues,

Des marées de ton coeur qui apportent les bouteilles que tu as jetées à la mer.

 

Tu te languis de ces moments où la vie quand, tel un feu de Saint Elme,

Crépite d'énergie, de l'énergie foudroyante d'un amour vrai.

 

 

Reprends le chemin de l'aventure

Tu y verras nombre d'étoiles dansées pour toi

Te sourire, t'apporter des coupe remplis de délices et de plaisirs.

Mais tu le sais, nombre d'entre elles sont sirènes

Elles chantent, chantent et finissent par dévorer.

Mais je ne t'apprends rien.

 

Écoutes la vie, ouvre ton coeur à l'arc en ciel

L'étoile que tu cherches est peut être plus proche que tu ne crois.

Car il est dur de voir, ce qui est trop près de soi.

 

 

Je le sais, je le crois, tu trouveras.

Les anges dés lors souriront et suspendrons le temps pour vous.

Vos coeurs battront au doux rythme, des vagues des océans de tendresse

Le rire sucrera les moments parfois amères.

Vous vous aimerez, tout simplement.

 

 

Il arrive ce temps où tout changeras

Il arrive le printemps de l'amour, de l'éveil des fruits de la passion

Il arrive le temps de la floraison où les baisers fleuriront comme autant de roses rouges dans ton jardin.

Il arrive le temps, d'aimer.

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12 juin 2007 2 12 /06 /juin /2007 14:11

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C'est un homme étrange que voila.

Il a emprisonné son coeur dans est une tour d'ivoire,

Forteresse imprenable même sous l'assaut de tendres sentiments.

Il est plongé dans les batailles de son esprit, celles qui ne laissent pas de monuments.

Il se souvient de ses victoires les plus amères comme de ses défaites les plus glorieuses.

Son coeur se débat dans la cellule la plus froide et la plus sombre de la forteresse.

 

L'homme reste sourd, il ne peut libérer son coeur emprisonné

Car lui même est prisonnier.

Prisonnier dans un monde où l'espoir s'allume et s'éteint aussi vite qu'une poésie

Prisonnier de ce monde où superficiel n'est pas un vain mot.

Comment libérer un coeur quand on est soi même entravé par de lourdes chaînes ?

 

 

Il fulmine, tente de ronger les liens qui le retiennent.

Sortir, sortir de ce maudit piège,

Une telle obsession, qui fait fuir Morphée à tire d'ailes.

Les mots ne sont plus assez puissant pour triompher.

Ce n'est pourtant pas l'heure d'écrire le dernier chapitre

Ce n'est pas le moment d'aligner les mots de clôture.

 

 

Voilà qu'il entends un chant, étrange comme la Lune en plein jour.

Au début, il se refuse à l'écouter, cette voix douce comme un rayon de soleil

Chaleureuse comme du miel.

Le chant, devient de plus en plus puissant, mais toujours aussi doux.

La tour, la tour où il a enfermé son coeur commence à vaciller.

Lui même tremble d'émerveillement,

 

C'est le chant de la Muse, le chant de l'éternité.

Il tente de ne pas céder mais les mots rongent les fondements même de la tour.

Des lézardes apparaissent et son coeur commence à croire en une liberté inespérée

La Muse chante, chante les couleurs de la vie, les mots de l'arc en ciel.

Elle chante la douceur des fleurs du ciel, chante les oiseaux du jardin.

 

Ce sont les larmes de l'homme qui parachève la destruction de la tour.

Elle s'effondre dans un fracas puissant mais ne soulève aucune poussière.

Son coeur, son coeur est libre de revenir habiter l'homme

L'homme s'approche alors de la Muse, et pleure à ses pieds.

Elle, sourit, elle sait qu'elle a sauvé une âme et un coeur.

 

 

Je ne puis vous conter la fin de l'histoire

Je ne sais si l'homme et la Muse assemblèrent leurs mots et leur vie.

Je puis seulement vous dire qu'ils voyagèrent loin pour combattre les maux

Que cette histoire connaîtra de nombreux chapitres

Mais celui ci est clos, maintenant.

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11 juin 2007 1 11 /06 /juin /2007 15:34

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Les mots que je dessine sur le sable

Prennent d'étranges formes

Les marées du temps ne tardera pas à les effacer de ma mémoire.

Ces mots sont ils le langage des mes envies ?

Traduction de la langue de rêves qui s'agitent en moi, jours et nuits ?

 

Mon esprit invente des mondes, pour toi, toi que je connais pas.

Tu es un simple fantôme rodant comme une ombre dans mes mots.

Tu hantes la demeure de mes poésies, traduction d'un futur qui ne sera peut être pas.

Les mots s'enflamment d'un amour qui pourtant, n'existe pas.

Du moins, voilà ce que je puis croire.

 

Et si ce n'était pas cela ?

Suis-je de nouveau aveugle et sourd aux battements de mon coeur ?

Aurais-je peur d'affronter une vérité qui à vue jour à l'aube de mes espoirs ?

Les heurts du passé ont- ils atrophier à ce point, le doux langage ?

Je me crois toujours en hiver et si pourtant la fleur du printemps été née ?

Elle a, qui sais, peut être percée la glace qui forme l'étau de mon coeur.

Mes mots sont amoureux, mon coeur pourtant, ne veux signer l'aveu.

 

 

Tant de questions qui ne voient pas la clarté du soleil de la vérité.

Ces mots sont ils le langage de mes envies, de mes voeux

Brindilles de rêves échappées de mon coeur ?

Sont ils le reflet d'un coeur profondément amoureux ?

Tout cela me paraît aussi obscur qu'une phrase sans verbe

Sans complément d'objet direct.

Je dois être le seul interprète de ses mots fantômes.

Aurais-je peur de la vérité, de me plonger dans le doux bonheur ?

Le temps apportera son lot de réponses, comme la nuit apporte son cortège de rêves.

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10 juin 2007 7 10 /06 /juin /2007 16:32

200321951-001.jpgLe temps assassine parfois nos rêves

Crevant nos ballons d'enfants

Qui ne s'envoleront plus dans les jours désirés

Pourtant, nous nous sommes jamais arrêter d'espérer,

Certains nouveaux rêves sont nés, et puis ont poussés comme autant de fleurs enivrantes.

Le temps emporte les journées dans un ouragan de minutes, de secondes.

Les rêves eux s'accrochent, parfois désespérément, à nos esprits et nos coeurs

Retenue par cette partie de nous qui s'obstine à ne pas grandir



Le temps apporte aussi l'amour dans les jardins battus par une ère glacière

L'amour, qui donne la force aux faibles,

Nous donne la clé pour nous aimer, jusqu'à ce que le temps, lui même succombe

Je serais toi, tu seras moi.

Sous les assauts des sortilèges que tu lanceras, je succomberais.

Je me tairais pour t'entendre rire et pleurer, je chanterais pour te charmer.

Je pleurerais pour faire des perles d'eau et de lumière que tu porteras sur toi.

Tu es la nuit étoilée qui donne vie aux rêves perdus

Tu es le soleil éternel qui fait pousser les roses dans la terre polaire.



La graine que tu as plantée poussera sous la douceur de nos caresses et baisers

Elle plongera ses racines dans nos deux coeurs

D'où naîtra les fruits rouges de la passion et de la liberté



L'amour sera notre immortalité

Viendra ainsi le temps de ne plus compter les heures.

Le temps sera à t'aimer pour ce que tu portes en toi, ce que tu es

Nous serons fidèle l'un à l'autre et à nous même.

Nous nous aimerons, tout simplement.

 

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