Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Voir le monde

Rechercher

5 février 2014 3 05 /02 /février /2014 00:35

Brûle les cendres du passé

Sur l’autel de tes rêves.

La nuit se termine.

Déplie les ailes de la vie.

 

Brûle tes peurs

Sur l’autel de l’espoir.

Le jour se lève

C’est l’heure de vivre.

 

Brûle les doutes

Sur l’autel de la tentative.

Sens-tu les vents se lever ?

Ils te chantent les temps nouveaux

 

Brûle les questions

Sur l’autel de la réalité.

Sens-tu le soleil arriver ?

Il vient atténuer les cicatrices

 

Ecrase ce carcan qui te serre

Sur l’autel de la chance.

Sens-tu les ténèbres tombées ?

Elles ne doivent plus t’enserrer.

 

La prison du contentement doit tomber

Car au travers des barreaux,

Tu y verras, une autre liberté

 

Celle où les nuits ne font plus trembler.

 

 

Une musique en accompagnement aux mots 

 


Partager cet article
Repost0
28 juin 2009 7 28 /06 /juin /2009 10:30

 

©Adûna Faël


Quand ton cœur est lourd et dur ,

Que les murs de la peur sont trop haut pour toi,

Laisses toi à parcourir les chemins de l’aventure.

Laisse guidez tes pas,

Vers les mystères des temps passés.

Laisse le soleil caresser ton âme

Aux sons de musique inconnues.

Donne ta main,

Nous partons sur les chemins d’or et de merveilles.

 

Quand ton cœur est lourd d’eau,

Que la pluie tombe sur tes mots,

Viens parcourir le temps des amis.

Redonne au soleil la chance de briller la nuit.

Laisse le guider tes pas au cœur des pays

Que tes yeux n’imaginaient pas.

Donne ta main,

Nous partirons vers les nuages ce matin.

 

Quand ton cœur est brisé par les vagues

Que le tonnerre gronde dans tes doigts,

Viens chevaucher les vents des montagnes.

Laisse la Lune rire aux éclats

Au son de tes sourires.

Donne ta main,

Nous partons changer la couleur du monde.

 

Quand ton cœur est chargé de peurs,

Que la nuit sans étoiles semble te sourire,

Viens près du feu de camp.

Nous chanterons les sphères et le vide qui lie

Donne ta main,

Nous composerons les sourires arc-en-ciel.

 

Quand ton cœur est lourd d’ombres,

Que ton monde vacille sur le rebord.

Viens avec nous briser les chaînes.

Donne ta main,

Nous chanterons tes sourires retrouvés.

 

Viens sur les chemins de l’aventure,

Si le ciel te paraît trop dur.

Donne ta main,

Nous donnerons  un visage à tes envies.

 

Viens arpenter avec nous,

Le pont du navire.

Donnes nous ta main.

 

Allez viens,

Le nouveau monde nous attend.

 

L’aventure commence !

 

 

Poème composé avec une musique à écouter ici

Partager cet article
Repost0
15 décembre 2008 1 15 /12 /décembre /2008 13:53


Je rêve d’un soleil d’or et d’argent ,

Fait de tendresse et de doux sentiments.

J’ouvre de nouveau les yeux,

Ce rêve s’enfuit vers les cieux.

 

C’est alors que mon cœur est abasourdi,

Les mots m’échappent, s’enfuient.

Le rêve, le rêve n’est pas dans les cieux ,

Le rêve est vivant, je le vois de mes yeux.

 

Est-ce un nouveau mirage ?

Un des mirages qui laisse l’espoir en veuvage ?

Je décide enfin de regarder avec mon cœur

Je décide enfin de voir, le meilleur.

 

Ce soleil d’or et d’argent,

Est doux, tendre, sensible comme un printemps.

Il chante les saisons et les fruits de l’été.

Fait mourir l’hiver et laisse un doux parfum sucré.

 

Ce soleil d’or et d’argent,

C’est l’oasis du désert brûlant.

La chaleur au plus profond de l’hiver,

La tendresse au fin fond de l’enfer.

 

Ce soleil d’or et d’argent,

Porte un nom gravé dans le temps.

Mes yeux ne me trompent pas,

Mon cœur, sur un nouveau rythme, bat.

 

Ce soleil d’or et d’argent,

C’est tout simplement,

Toi.

Oui toi.

 

Partager cet article
Repost0
12 décembre 2008 5 12 /12 /décembre /2008 13:53


Plus vite que le vent,

Ton cœur, ce joyau chatoyant,

Embrase ma nuit de caresses.

Je veux que demain, le soleil paresse.

 

Tes yeux parlent des mots qu’enfin, je comprends.

Et voici que maintenant, s’arrête le temps.

Tes mains caressent des accords sur ma peau,

Mes pensées ne se noient plus dans le fil de l’eau.

 

Tes lèvres sur les miennes sont des mots tendres,

Qui soufflent sur les cendres .

Tes baisers sont la caresse d’un soleil printanier,

Redonnant vie à une fleur pâle et desséchée.

 

Plus vite que le vent,

Ton âme titille la mienne maintenant.

Nos âmes brûlent nos dernières peurs,

Fondant le métal de nos doutes et nos erreurs.

 

Plus douce qu’une symphonie,

J’écoute ton cœur battre dans la nuit.

Je ferme les yeux…

Au réveil, dans tes bras, mon univers sera heureux.

Partager cet article
Repost0
2 décembre 2008 2 02 /12 /décembre /2008 16:34

Le chemin est jalonné de larmes.

Poussières des yeux et d’embruns,

Elles font parfois oublier qu’il existe un demain.

Jetant sur le cœur, un indéchirable voile.

 

Il erre dans les vallées,

Cachant l’eau de ses yeux

Dans des mots peureux.

Il erre sous couvert de la chênaie.

 

Et voilà qu’elle arrive doucement,

Entraînant dans son sillage

De la tristesse et des mots sages.

Les voiles s’envolent  maintenant.

 

Deux mains qui se réunissent,

Pour ne faire qu’une dans ce nouveau jour.

Deux mains qui caressent sans mauvais tours.

Le Soleil et la Lune se réjouissent.

 

Chronos tisse une nouvelle trame.

Thot, lui, note sur ses tablettes.

Ce nouveau jour de fête.

Il n’est plus question de voiles.

Partager cet article
Repost0
30 novembre 2008 7 30 /11 /novembre /2008 12:38

Le monde s’embrase dans une douceur longtemps perdue.

Le cœur à nu,

Tes mots parcourent mes blessures sans les voir.

Naissance d’un espoir.

 

Le monde tourne à l’endroit, à l’envers,

Déchirant les voiles brûlant de l’enfer.

Sourires qui évanouissent le passé,

Tu as trouvé la clé.

 

La plume commence un nouveau chant,

Sur le papier brillant d’un soleil levant.

Le miroir scintille d’un doux reflet,

Esquissant la tendresse nouvellement née.

 

Le monde s’embrase sous tes mots,

Riant, virevoltant au-dessus du gouffre des eaux.

Le cœur à nu,

J’embrasse la vie comme un aveugle recouvrant la vue.

Partager cet article
Repost0
18 octobre 2008 6 18 /10 /octobre /2008 11:31


Il y a ces mots que je voudrais dire,

Avant que ne vienne le soir.

Des mots, qui pleurent un espoir.

Il y a ces mots que je voudrais dire.

 

Il y a des mots silencieux,

Qui ne se disent que dans un regard.

Ces mots qui changent le noir en espoir.

Il y a des mots silencieux.

 

Ouvrir la boîte de Pandore,

Plongé la vie dans les larmes d’insomnies.

Allumer la mèche de la douceur, pour cent mille nuits,

Ouvrir le coffre au trésor.

 

Il y a tant de choses à dire,

Si peu à taire.

Rien à dire et tant à faire.

Le temps va à s’alourdir.

 

Puiser dans le courage.

Faire revivre la flamme du dragon,

Avec cœur, sans peurs, sans hésitations.

Te rejoindre au couchant, sur la plage…

Partager cet article
Repost0
11 octobre 2008 6 11 /10 /octobre /2008 12:03







Ancre levé, amarres détachées

Le soleil vient de se lever.

Un nouveau voyage commence maintenant,

J’ai oublié les « non » du passé, je souris face au vent.

 

L’amer a sombré au fond des océans ,

Sous la force de ton chant.

L’écume des jours se change en soleil,

Brisée l’iceberg éternel.

 

De ta voix souffle, les vents du changement,

La persuasion douce comme un printemps.

La chaleur de ton cœur brise le gel sur les amarres,

Et tu chantes, chantes, le nouveau départ .

 

Qu’importe si la tempête hurle demain,

Nous ne sommes qu’au petit matin .

Qu’importe si les vagues m’emportent au soir,

Je lève l’ancre et dètache les amarres.

Partager cet article
Repost0
9 octobre 2008 4 09 /10 /octobre /2008 12:48
Ô fille du vent…
Sur les ailes du soleil,
Dans le chant gracieux de la fontaine,
Tu attises la vie d’un nouveau temps.

Ô fille du vent,
Tes yeux noirs percent mon masque.
Faisant tomber une à une, les forteresses écarlates,
Réveillant l’homme mort et ses sentiments.

Ô fille d’Ève,
Tu danses les mots au rythme de tes amours,
Pour une valse, un temps, toujours .
Ton corps doucement se soulève.

Ô fille d’Ève,
Tu grondes la fureur de changer,
Déchirant les chaînes du passé.
Vagues de tempêtes sur les rochers et la grève.

Ô femme,
Laisses moi te donner un nom.
Sans fureurs, sans déraisons.
Un nom d’amour, pour nos âmes.




Partager cet article
Repost0
7 septembre 2008 7 07 /09 /septembre /2008 17:32



Des méandres de la rivière du temps ,

Tu es venue te poser sur la branche.

Je t’ai écouté chanter doucement,

Les feuilles noires sont alors tombées en avalanche.

 

Chantant une vie que je ne voulais pas voir,

Tu as fait tomber la forteresse, par la vérité.

Tu as fait plus que croire.

Tu as donné, de nouveau, sans compter.

 

Ton cœur a grondé devant les murs de ma prison,

Fulminé sur les graffitis de ma cellule.

Sonne le tic-tac à la pendule.

Tout s’arrête, plus aucun son.

 

Enfin, ton chant de la vie qui s’élève,

Clair comme un matin du monde.

Une nouvelle musique vient de ton cœur, de tes lèvres,

La Lune est brune, est blonde.

 

Mes yeux voient maintenant, un autre univers.

Ô toi, qui as chanté la vie nouvelle,

Je plante une poésie en ton nom, dans la nouvelle terre.

Que je nourrirais des larmes de joies venues du ciel.

 

Je chante à mon tour, pour toi.

Je chante l’arbre de vie

Dans un monde criant de froid,

Je bannirais du tien, les soucis.

Partager cet article
Repost0