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Voir le monde

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5 juin 2008 4 05 /06 /juin /2008 11:54

J'ouvre les yeux.

Je vois en toi les vraies couleurs,

Couleurs du sourire et de poésie.

Le monde a changé depuis que j'ai pleuré.

 

 

Je ferme les yeux.

Je vois tes mots dessinés un coeur tendre.

Mélange de pleurs et de joies,

Il sublime la vie d'un arc-en-ciel.

 

 

Dans le lac insondable de tes yeux,

Je plonge en quête de nous.

Je m'y noie et pêche de l'Amour.

Comme une perle aux milliers de reflets.

 

 

Ta voix, doux miroir de la tendresse,

Fait écho aux rayons du Soleil

Dans les matins du jour.

Fait écho au rire de la Lune.

 

 

Combien même, l’age des Hommes s’effondre.

Nos mains et nos coeurs restent liées

Par l’Amour doux et sincère.

Par l’Amour, simplement.

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4 juin 2008 3 04 /06 /juin /2008 14:14

La caresse du soleil de juin

Danse sur ta peau de satin.

Ton sourire s'étire,

Reflet de tendres pensées.



Dans tes yeux, une étincelle.

Elle enflamme le monde d'Amour,

Comme une rose qui voit le jour,

Comme une source dans le désert.



Le monde s'agite dans le petit matin

Pendant que tu plantes la vie dans le jardin.

Les cicatrices de ton coeur sont vivent encore

Mais tu aimes le temps présent.



Ton âme a pleurée, saignée.

Tu replantes de nouvelles graines de douceur,

Tu chantes avec Amour, un nouveau monde,

Tes baisers ne sont plus désespérés.



Tu aimes la vie, l'Amour.

Les fleurs de ton coeur,

Ne pleurent plus sur le noir

C'est un nouveau jour.

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3 juin 2008 2 03 /06 /juin /2008 18:23

Son index délicat effleure mes lèvres

Faisant taire d'un tendre geste, les mots naissant.

Un de ses baisers parle plus que tous les mots d'une vie.

Le voyage commence ainsi.



Tes mains dans les miennes.

Comme les serments,

D'un Amour qui ne finira pas sous le ciel gris.

Ce baiser, au goût d'amour, ne s'achève pas.



Ton coeur chaud de sourires,

Brûle les ombres de la nuit.

Tes yeux caressent l'Amour,

Tout comme une plume de soie.



Sur sa peau parfumée aux joies,

Mes mains caressent la vie, l'envie.

Le temps meurt alors,

Sous les assauts du coeur.



L'instant reste figé comme une photographie

Mais ne jaunira pas dans les années

Parce que l'Amour n'oublie pas

Parce que l'Amour, c'est toi.

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2 juin 2008 1 02 /06 /juin /2008 16:52

Dans le silence argenté de la nuit

Le rêveur s'évade dans le courant des rêves.

Personne ne sait où il va.

Le courant l'entraîne au loin.



Il marche dans les jardins de son coeur.

Cueille une rose d'or

et l'offre à celle qu'il aime.

Il la laisse partir vers d'autres rêves.



Dans le silence hurlant de la vie

Le rêveur s'évade dans le courant des rêves.

Il devient une ombre dans la lumière des hommes,

Chanteur de mots et d'amour oubliés.



Dans le silence tendre de la nuit,

Le rêveur s'en vient te retrouver,

Femme aux pensées exquises

Aux mots caressant l'âme.



Ensemble, ils échappent au temps

Aux tempêtes de noirceur

Aux poisons des mots assassins

Ensemble, ils rêvent jusqu'au petit matin.

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1 juin 2008 7 01 /06 /juin /2008 10:46


Le coeur des hommes est une mine aurifère.

Sous les pierres noires se cachent des filons,

Des trésors insoupçonnés plus beau que le fer.

Défiant l'imagination.



Le coeur des hommes est un enfer

Monstres se tapissant dans l'ombre

Citadelles de pierre

Endroits exultant le sombre.



L'argent se ternira au fil du temps

Quand le soleil se voile de larmes profondes.

L'amour éclaire tendrement les perles de diamant,

Et l'amitié devient féconde.



Les vents du changement emportent la vie

Le coeur lourd laisse tout sur place

Rien pourtant n'est amoindrie

Ni les sentiments, ni l'épaisseur de glace.


Le coeur des hommes est une mine aurifère.

Sous les pierres noires se cachent des filons,

Des trésors insoupçonnés plus beau que le fer.

Défiant l'imagination.



Voila ce dont je me souviendrais...



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29 mai 2008 4 29 /05 /mai /2008 11:32

La source est tarie.

Aussi sec qu'un désert,

Le coeur ne pleure plus les mots de l'envie

Es cela l'enfer ?

 

 

Pourtant dans ce désert

Il y a des roses.

Venues bien avant hier

Vibrantes malgré le ciel couleur morose.

 

 

Au nombre de cinq

Elles sont le jardin dont certains rêves

Elles chassent du vent, la longue plainte.

Roses et femmes, je vous aime jusqu'à le temps s'achève.

 

 

Oasis de l'enfer

Fleurs tendres aux parfums si précieux

Aux épines affûtées comme Cerbère

Vous êtes le soleil dans un ciel bleu.

 

 

Ensemble nous traverserons le fleuve du temps

Nous nous retrouverons sur l'autre rive

Mais pas avant longtemps

Pas avant que nous conjuguions vivre.

 

 

Puissiez vous marchez en paix

Fleurir encore et toujours

Dans la douceur d'un bel été.

Sans des racines, le poids lourd.

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28 mai 2008 3 28 /05 /mai /2008 13:32

Ô bâtisseurs des étoiles

Suspendez la lumière au firmament de la vie

Pour elle, changez le monde en paradis.

Que la nuit de son coeur, s'éloigne.



Les ombres sombreront une à une.

Reculant hors de ta vie en cascades d'eau.

La lumière chantera encore plus forte, plus haut,

Ce que ton âme recèle de fortunes.



Nous avons affrontés les nuits

Bataillé en rimes croisés

Pleuré des mots du coeur sur le papier

Marché dans l'ombre de la pluie.



Nous entendons les mots inaudibles

Dans le fracas des guerres de la vie

Qui ne laissent parfois rien d'autre que l'ennui.

Ton coeur est trop souvent une cible.



Tes mots sont le rempart, le bouclier

Dévoilant parfois les cicatrices de ton coeur

Masquant aussi les moments de frayeur.

Tes silences cachent d'autres vérités.



Tu donnes et je prend

Chacun ses secrets gardés avec soin

C'est la force de l'amitié qui ne s'éteindra pas demain.

Je donne et tu prends.



Ô bâtisseurs des étoiles

Suspendez la lumière au firmament de la vie

Pour elle, changez le monde en paradis.

Que la nuit de son coeur, s'éloigne.

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27 mai 2008 2 27 /05 /mai /2008 11:40


© Scrogneugneu


A la mémoire de nos frères corsaires.

Pilleurs, voleurs, assassins,

Ne doutant pas de voir encore demain.

Se moquant des rois restés à terre.

 

 

Fiers coureur des mers

Voguant au vent de la liberté

Chanteurs au son de la poudre brûlée

Riant, riant de l'enfer.

 

 

Vogue toujours Fancy, Pearl, Soldado

Dans nos mémoires,

Gonflés les voiles de l'espoir

Pour nos vies, au fil de l'eau.

 

 

Libres et indomptables comme la mer

Pilleurs de trésors

De joyaux et d'or

Nous célébrerons la loi corsaire.

 

 

Nous mourrons peut être dans un abordage

Écrasés par de vulgaires boulets

Mais vivre et se battre, nous aurons osés

Qu'importe de partir avant l'âge.

 

 

Nous ferons de l'histoire, une légende

Sous le noir pavillon

J'aimerais et je crèverais au son du canon

Le coeur dur et tendre.

 

 

A la mémoire de nos frères corsaires.

Qui se moquait bien de demain

Osant vivre sans peur d'une fin

Pour nous, il n'y pas d'enfers.

 

 

Ps : L'oeuvre illustrant ce poème m'a été gracieusement offerte par un tout jeune dessinateur, qu'il en soit ici chaleureusement remercié. TreiZe

 

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19 mai 2008 1 19 /05 /mai /2008 13:35

Sous le souffle doré du vent,

Les mots tourbillonnent dans l'air du temps.

Et retombent en poussière tant de tendresse

Que de maladresse


Sous le soleil de l'amour,

Le chant des oiseaux pleure toujours

De la douleur aux nouvelles couleurs

De la chaleur à la froideur.


Il y a tes danses du coeur

Qui valse la vie sans erreurs

Tes yeux qui cadencent la vie

Et l'orage dans le ciel bleu.


Il y a le temps qui s'échappe

Ton amour qui le rattrape

Le vent qui gémit doucement

Par la voix des arbres, lentement.


Il y a une fin à l'histoire

Qui plongera dans le noir

Pour mieux recommencer

Sous le soleil de l'été.

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9 mai 2008 5 09 /05 /mai /2008 16:16

Les larmes de tes yeux

N'éteignent pas les flammes de ton enfer.


Les larmes de tes yeux

Chantent ton coeur solitaire.


Le froid de la vie gèle tes larmes

En glaçons éternels de souvenirs.


C'est maintenant l'adieu aux armes

Et l'envie de partir.


Partir, pour ne jamais revenir.

Pleurer pour laver le coeur,

Pleurer pour écrire,

Une autre histoire sans heurs.


Un arc en ciel se dessinera dans ton ciel

Pont vers les étoiles

Là bas, vers le champ éternel

Qu'aucune ombre ne voilent.


Je te dirai un jour, combien je t'aime.

Je te montrerai un jour, combien je t'aime.

J'aurais raison de tes larmes,

Je te parlerais de la grande flamme.

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