11 décembre 2008
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Les ombres du soir sont pâles et fragiles
Quand pétille ton sourire docile.
Tes pas légers soulèvent la poussière d’étoiles,
Chacune de tes foulées devient un régal.
Tu es aussi gracieuse qu’une fée.
Tes lèvres deviennent mon péché.
Ton sourire, ton sourire,
Prolonge mes soupirs.
Le soleil du matin semble chagrin
A la lumière de tes yeux si câlin.
La caresse de tes mots,
Un onguent pour ma peau.
Le cœur s’emballe,
Tes gestes enflamment.
Mots tendres,
Dans lesquels, je plonge sans attendre.
Chant de la douceur,
Faisant montant la chaleur.
Tes yeux parlent mille mots,
Je me jette dedans, comme dans l’eau.