Je te voyait comme une fleur de printemps
Fraiche, épanouie, riant sous le vent
Je te voyait comme une fée
Créant la magie par de douces pensées
Je t'imaginais chaque jour, chaque nuit
Je revais qu'avec toi, vers le soleil, je fuyais
Je t'imaginais comme un ange
Pleines de mysteres, perçant l'étrange
Tes yeux auraient été le reflet de ton ame
Qu'aucunes larmes ne voilent
Nos coeurs auraient battu à l'unisson
Vivant dans un tendre union
Mais aujourd'hui, je ne reves plus
Je ne te vois plus
Mes reves ne seront pas plus long que la nuit
Ils seront infinis
Je revais que tu sois seulement toi
Que je t'aimais comme cela
Mais je crois, non je sais
Que jamais je ne vivrais cela
Je suis à la fin de tout espoir
J'approche doucement du soir
Je tire le rideau de mes pensées
Je laisse mon coeur désséché
Doucement, s'arreter...